Le motif du succès de CUPA GROUP: la somme de professionnels engagés

Le personnel de CUPA GROUP façonne une équipe professionnelle dont l’entreprise peut être fière. Un groupe de travailleurs qui, chaque jour vient travailler disposés à donner le meilleur d’eux-mêmes et à contribuer au savoir-faire de notre entreprise.

Dans ce quatrième numéro de MEDUA nous voulons vous présenter quelques-unes des personnes qui, chaque jour font possible le succès et la reconnaissance internationale dont nous jouissons aujourd’hui. Plusieurs professionnels qui occupent des postes de travail diférents vous permettront à connaître mieux tout l’engrenage qui se trouve derrière CUPA GROUP.

«Il est fondamental de laisser les problèmes personnels en dehors du travail afin de travailler dans la bonne humeur»

Javier López Ferreira, connu par ses collègues comme “Neno”, travaille dans le centre de production de CUPA STONE à Vigo, en Galice. Il est arrivé dans notre société il y a 20 ans maintenant. Après toutes ces années, il se rappelle encore comment étaient ses débuts. “Les machines n’étaient pas comme aujourd’hui, tout le travail se faisait manuellement” commente Neno. Actuellement, sa journée se déroule à michemin entre la machines á flammes où “nous flammons et bouchardons les tranches de granits”, et la zone de déchargement où “nous déchargeons les machines de découpe á scie et entretenons les ponceuses”.

Pour Neno la précaution et la responsabilité sont les attitudes es plus importantes pour son poste de travail. Selon Neno pour qu’un travail soit parfait il faut “laisser les problèmes en dehors du travail” et “vivre la journée dans la bonne humeur, être toujours concentré sur sa tâche pour que tout se déroule correctement”.

«Nous devons toujours être plus performants dans notre travail»

Clalton Vasconcelos Freitas est le directeur de production de Barcamp, dans la ville brésilienne de Papagaio, où il y travaille depuis plus de 10 ans. Ses principales missions sont le contrôle général de la production, les contrôles de qualité. Il s’occupe également de la relation directe avec les employés et avec les fournisseurs de matières premières.

Pour Clalton il faut “être très responsable et impliqué”, être créatif et avoir une bonne relation avec les employés, les chefs et les fournisseurs. Il décrit son quotidien comme étant “rapide”, n’ayant très peu de temps pour la multitude de choses qu’il doit faire, mais il l’aLronte cela “avec enthousiasme, avec énergie et une attitude positive”. Clalton pense que “nous devons toujours faire mieux” et c’est pour cela que, bien qu’on n’obtienne pas toujours le résultat désiré, il met en pratique de nouvelles formules jour après jour pour les atteindre.

«Ma capacité d’organisation, ma connaissance du système informatique et des produits sont mes principales aptitudes»

Aurelien Terrien, responsable de la plateforme logistique CUPA STONE France, travaille avec nous depuis 13 ans. Il a commencé “petit à petit” et en travaillant “lentement”, ce qui lui a permis d’arriver á conseiller les clients en agence. Sur son lieu de travail, il accomplit de nombreuses tâches comme contrôler les entrées et sorties des camions, préparer les commandes, contrôler la qualité ou analyser le stock, travail pour lequel, selon lui, il faut “garder son calme et avoir une bonne connaissance du système informatique de l’entreprise”.

Sa capacité d’organisation, sa bonne connaissance des produits et du système informatique sont, selon lui, les plus grands atouts qu’il apporte à l’entreprise. Aurélien souligne la bonne ambiance avec ses collègues: on peut apprendre beaucoup de ses collègues. Précisément, CUPA STONE France lui permet de travailler avec des personnes de caractères diLérents et d’être en contact permanent avec un produit “aussi noble que la pierre naturelle”.

Une famille au sein de CUPA PIZARRAS

 

Marisol Muñoz travaille chez CUPA PIZARRAS depuis neuf ans: elle sélectionne et conditionne les ardoises, mais ce n’est pas la seule de sa famille dans l’entreprise: elle est accompagnée de sa fille Mari Carmen, qui sélectionne aussi les ardoises, et de son fils David, fendeur. Compte tenu de cette particularité, on peut se demander si c’est héréditaire. Marisol nous explique que son père travaillait déjà dans l’ardoise. “C’est possible, que je les ai mis sur la voie” dit-elle en souriant. Sa principale qualité au travail c’est qu’elle est très active et qu’elle a beaucoup d’énergie; elle nous indique clairement qu’elle travaille dans l’entreprise pour donner le maximum d’elle-même, ebectivement nous sommes tous impressionnés par son dynamisme.

Marisol apprécie chez CUPA PIZARRAS la stabilité que lui apporte l’entreprise, la chance de pouvoir y aller pour travailler chaque jour. Mari Carmen y travaille depuis le même nombre d’années que sa mère. A l’âge de 18 ans elle savait qu’elle voulait s’y consacrer. Mari Carmen agrme qu’elle “savait que c’était un travail dur, mais qu’elle devait essayer” et qu’actuellement “elle aime son travail, elle l’apprécie et elle en tire parti”. Elle précise aussi l’importance de travailler dans l’ardoise, dans “une entreprise aussi forte que CUPA PIZARRAS”. Elle souligne le rôle clef joué par son responsable qui, avec ses encouragements, motive très bien les travailleurs pour faire le meilleure d’eux même. Curieusement, à ses débuts elle conditionnait les pièces que sa mère sélectionnait. “Au début on a eu un peu de mal à nous adapter à travailler ensemble, puisqu’elle m’appelait “ma petite”, et sur le lieu de travail c’était gênant” nous explique Mari Carmen en souriant, clarifiant que très tôt elles ont trouvé l’éq ilibre entre mère, fille et collègues de travail.

David, le benjamin de la famille, a commencé à travailler chez CUPA PIZARRAS il y a quatre ans et il a occupé plusieurs postes de travail: il a perforé, conditionné, scié et finalement fend les ardoises. Il croit que pour ce travail il faut beaucoup de patience et il faut être très attentif pour obtenir un produit de bonne qualité. Selon lui, être avec sa famille est un plus, surtout dans les débuts: “Elles me conseillaient, m’indiquaient comment faire certaines tâches, comment s’en sortir” nous explique David.